Isolator II Presse française

Isolator II Dokumentarvideo 1996

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Le Monde, 4 Fev. 2000
TELEVISION ARTE

(…) En revanche, le documentaire de Martin Zawadzki, Isolator II, est un regard juste sur les souffrances infligées à un malade qui doit subir une greffe de moelle osseuse. Réflexion sur la recherche médicale, c’est aussi une ouverture sur les possibilités offertes, après la guérison, par les psychothérapeutes.

Le Pelerin du 28 janvier au 3 février 2000

20h40
Le cancer. Vivre comme avant?
Pour évoquer le cancer, cette Thema, réalisée par a television allemande, prend le parti du réalisme. Un choix qui donne à ‚ensemble de 1a soirée une tonalité assez froide, quasi clinique, excluant pour une grande part la dimension émotionnelle et humaine de la maladie. Cette volonté atteint son paroxysme à 23h15 dans «Isolator II», un documentaire qui dépasse rapidement les limites du supportable. Parce qu’il a lui-même souffert d’un cancer, suivi d’une greffe de moelle osseuse, le realisateur Martin Zawadzki a voulu filmer le calvaire enduré par un patient souffrant du même mal. Sans le moindre ménagement pour la sensibilité du téléspectateur, la caméra montre l’ensemble des étapes du traitement. Hélas, loin de susciter la compassion, ce procédé de choc provoque plutôt le rejet, tant les images sont souvent insoutenables. (…) B.B.

Famille Chretienne du 27 janvie au 2 février 2000

Isolator II arte 23h10 Doc. ♥♥ Adultes etgrands ados

Cas de Hans Werner Knechten, 48 ans: seule une transplantation de moelle osseuse peut le sauver du cancer. Ses chances de survie? 50 %… Martin Zawadzki, qui a vécu luimême cette terrible expérience, accompagne le patient avec sa caméra. II instille chez le spectateur les désagréables sensations du monde froid, aseptsé, normatif et mécanique de la vie «sous bulle», en hôpital. Le commentaire, parfois provocant, n’altère en rien ladmiration que suscite ce combat courageux d’un patient contre la mort. C.L.

Paris Normandie jeudi 3 février 2000

Vivre avec le cancer
Ce jeudi 3 février
Arte, 20 h 45.

(…) Isolator II Pour Hans Werner Knechten, 48 ans, le diagnostic est tombé: cancer. Seule une Transplantation de moelle osseuse est susceptible de le sauver. Martin Zawadzki, qui a fait Iui- même cette difficile experience, va accompagner le patient avec sa caméra sur ce chemin entre la vie etla mort. Six semaines dans le service de réanimation d’un grand hôpital. Les chanccs de survie sont en moyenne de 50%. A partir de l’experience d’un homme qui accepte l’intervention parce qu’elle représente pour lui la seule possibilité de surmonter son mal, ce documentaire offre une réflexion sur la recherche médicale et la confrontation de l’individu avec un système hospitalier fermé sur lui-même.

La Croix, 3 Fev. 2000

Ils disent un long et douloureux combat
Thema Le cancer vu «à l’allemande»…
un côté coup de poing parfois difficile à soutenir

(…) A 23.15, «Isolator II » (allusion à l’isolement de la chambre stérile) aborde le prob1ème de la greffe de moelle «dernière chance». Le réa1isateur lie sa douloureuse expérience au parcours d’un patient d’aujourd’hui. Cultivant l’expressionnisme allemand, son film part dans de nombreuses directions et joue sur un réalisme médical des plus éprouvants. Colette BOILLON

TELE OBS du 29 janvier au 4 février 2000

Soirée thématique: „Le Cancer, vivre comme avant ?“ – 20h40 Arte
L’ennemi intime

PAR FABIEN GRUHIER
Une soirée entieère consacrée au cancer, il fallait oser. C’est l’honneur d’Arte que de s’attaquer à une question qui concerne tout le monde

(…) „Isolator II“
Chemin de croix

Quand la survie
dépend d’une greife de moelle

Difficile d’imaginer un titre plus approprié pour ce documentaire horrible (23h15). Pardon à Hans Werner Knechten, le heros de l’histoire, que l’on voit cheminer entre la vie et la mort: l’horreur n’est pas de son fait. Mais on nous le montre alors que, pour survivre, il a absolument besoin d’une greffe de moelle osseuse. Et qu’il a beaucoup de mal à obtenir satisfaction. Avec, pour seule motivation, une probabilité de survie de 50%. Et des semaines d’attente dans un service de réanimation… F. G